Mikama - March 31, 2014

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Les infrastructures pourraient ajouter une moyenne de 2% au taux de croissance économique des pays africains. (..) Rappelons que de 1970 à 2000, le pays a perdu en moyenne environ 1 000 km de routes par an. Si au début des années 60 donc, il disposait encore de 50 000 km de réseau, il n’en restait plus en 2010 que 38 000 km dont 5 700 sont revêtues. Comparée à la situation sur le continent, celle de Madagascar est pire si on se réfère à ces données de la Banque mondiale : la densité des routes en Afrique subsaharienne est estimée à 31 km de routes revêtues par millier de km2, contre 9,7 km pour Madagascar ou 3 fois moins la moyenne subsaharienne. (..) Au début de la crise, 44% des routes nationales étaient jugées en mauvais état. La situation s’est aggravée depuis.

Y.L dans La Gazette de la Grande-Ile
Pour la petite histoire, le débat parlementaire est une discipline de la JCI qui organise chaque année des concours inter-organisations locales (OLM) lors des assises nationales. En étant confrontés à la réalité et aux problèmes de la ville de Mahajanga, les membres de la JCI Mahajanga ont cru bénéfique d’organiser un débat inter-établissements pour apprendre aux jeunes l’art du débat et plus particulièrement celui de s’exprimer. Les jeunes majungais sont en effet, influencés par la coutume « zanatany » et le fameux « kalizy » où il s’agit plus de s’insulter que d’établir une discussion contructive. Cette année, le concours débat inter-établissements en est à sa deuxième édition et les nombres de participants augmentent d’année en année. Le but ultime des organisateurs étant de faire de ce concours, un rendez-vous incontournable pour les jeunes lycéens et de faire des élèves majungaises des as du débat parlementaire.

Antsa R. dans Midi Madagasikara
Ils sont aujourd’hui plus de 3 800 opérateurs à être membres du GOMDM ou Groupement des opérateurs miniers pour le développement de Madagascar. Ces membres se sont fixé comme but de protéger les activités minières contre l’anarchie et l’exploitation abusive

Une Lettre ouverte : l'avenir de la Terre Madagascar




LETTRE OUVERTE A MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE,
AUX ELUS ET DECIDEURS
ET A TOUS LES MALGACHES SOUCIEUX DE L’AVENIR DE LEURS TERRES

Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs,

Les terres malgaches sont des ressources naturelles convoitées. Leur protection et leur sauvegarde font partie des préoccupations de la population. Les nouveaux dirigeants en ont pris acte. Lors du premier Conseil des ministres dirigé par le nouveau Président de la République le 29 janvier 2014, la première mesure interdit « toute désaffection, mutation totale ou partielle, ou traitement de dossiers d’acquisitions de terrains d’Etat au profit d’une tierce personne » et cela, « jusqu’à la formation d’un nouveau gouvernement » (1). Mais que se passera-t-il après ?


Mikama - March 28, 2014

Jennifer Le Corre dans The Guardian
In Madagascar, as in most developing countries, women play a leading role in economic development. Women make up 34% of the formal sector and 65% of the informal sector. As heads of the households, these women are responsible for the basic needs of their family including childcare and education. Their maternal obligations take time and so the chance of these women successfully starting an income-generating activity is slim. (..) In honour of International Women's Day, EY and PlaNet Finance teamed up to launch their first collaborative online fundraising campaign. Thanks to this collaboration, a total of €14,000 was raised for the socioeconomic empowerment of Malagasy microentrepreneurs in Antananarivo. The fundraising delivered:• Support for over 400 Malagasy women; raising their income by 30%.• Among these 400+ women, 150 have been trained in, and now have access to financial services, including the introduction of loan portfolios and access to savings accounts.• 60 partner Microfinance Institution (MFI) loan officers have been trained in women's rights and gender equality....
Women perform 66% of the world's labour, produce 50% of the global food supply, but earn only 10% of worldwide income and own only 1% of its property (UNDP, 2013).

Racl.R dans La Nation
... le professeur Mamy Ravelomanana a fait mention de la manière dont les Angolais ont pu booster leur croissance économique jusqu’à 20% en utilisant leur propre potentiel. « L’Angola a pu s’en sortir car ils ont laissé les Chinois exploiter leur pétrole. En exploitant ce pétrole, les Chinois ont du construire de différents infrastructures dans leur pays. En fin de compte, les Chinois ont eu le pétrole et les Angolais ont hérité des infrastructures. En ce moment le PIB per capita des Angolais a triplé », a expliqué le professeur Mamy Ravelomanana. Notons que le PIB per capita de l’Angola est de 3.000 dollars.

René Cyrille dans Newsmada
Reflets de la quotidienneté : les chemins du grand banditisme: De la petite délinquance au grand banditisme - Alerte à la contagion.

Sur cet avis de la HCC sur l'AN

(Après cette annulation par la HCC des élections des organes de l'Asssemblée Nationale, suivie par les réactions des... perdants, voici mon point de vue... publié sur Serasera, Midi Madagasikara et Tribune Madagascar)

Je suis pas juriste ni homme de loi, mais ma logique serait la suivante.

1- la première chose à faire c'est l'élection du bureau.
Andininy 78.- Manao fivoriana manokana avy hatrany ny Antenimierampirenena ny talata faharoa manaraka ny fanambarana ny vokatry ny fifidianana azy mba hananganana ny biraony sy ny fanamboarana ny vaomiera.

2- Cette élection se fait selon les règlements, qui ont été (supposément) déjà publiés, et ce, après avoir été (supposément) avalisés par la HCC
Andininy 117.- (..)Ny fitsipika anatin'ny Antenimiera tsirairay dia aroso hamarinina raha mifanaraka amin'ny Lalampanorenana alohan'ny hampiharana azy. Ny fepetra nambara fa tsy mifanaraka amin'ny Lalampanorenana dia tsy azo ampiharina.
Andininy 79.- Ny fitsipika mikasika ny fampandehanana ny Antenimierampirenena dia faritan'ny lalàna fehizoro ao amin'ny foto-kevitra ankapobe sy faritan'ny fitsipika anatiny ao amin'ny fombafomba arahiny. Avoaka amin'ny Gazetim-panjakan'ny Repoblika ny fitsipika anatiny.


Maintenant...


Mikama - March 27, 2014

Dans L'Express de Madagascar
«Nous avons constaté que la plupart des agriculteurs ne produisent que pour leurs consommations. Le problème est qu’ils ne peuvent ou ne veulent pas investir, car leurs produits sont achetés par la suite à bas prix par les collecteurs. Face à cette situation, nous avons décidé d’ériger des coopératives auxquelles les producteurs peuvent adhérer sans être liés par des contrats. Ils peuvent bénéficier de matériel agricole pour améliorer leurs productions, et nous nous engageons à trouver des débouchés pour leurs produits», explique Andry Andriamanoro, vice-président de l’association  Fanahy Maha olona.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
A part le pétrole, Varun group explore aussi de l’ilménite et des métaux lourds dans le Sud de Madagascar. Il projette aussi de faire du commerce de l’or dans l’océan Indien. Mais il ne se limite pas au secteur extractif. Il diversifie ses domaines en investissant dans l’exportation de haricots, de poivre, de girofle de Madagascar. Il importe du riz et a réalisé 2 500 containers en 2011.

René Cyrille dans Newsmada
Reflets...d'une dynamique de l'exportation : exigence d’une structure forte pour réussir les négociations -  Négociations avec les zones de marchés - Les lourdes conséquences de la crise - Enjeu de la stabilité politico-économique - Problème des normes à résoudre.

Une Lettre ouverte : les Iles Eparses




Lettre ouverte à Monsieur le Président de la République sur le devenir des Iles Eparses

Monsieur le Président de la République,

Les Iles Eparses constituées par l’archipel des  Glorieuses, les iles  Juan de Nova, Europa et Bassa da India n’ont pas été restituées en 1960 par la France, à cause de l’entrée en vigueur d’un décret français le 1er Avril 1960 , sachant que notre indépendance (ou notre retour à l’indépendance) datait du 26 juin 1960. Selon M. André Oraison, professeur de droit public à l’université de la Réunion,  en 2010, « en réalisant le démembrement du territoire national malgache sans consultation préalable du peuple de Madagascar ou de ses représentants élus et au mépris du principe de l'intangibilité des frontières coloniales, le décret du 1er avril 1960 déroge aux principes généraux de la succession d'États. On peut de surcroît mettre en doute la thèse française selon laquelle Madagascar aurait acquiescé au démembrement de son territoire. Cette amputation lui a plutôt été imposée par la Puissance administrante à la veille de sa résurrection en tant qu'État souverain, le 26 juin 1960. »

Mikama - March 26, 2014

Fahranarison dans Newsmada
Une bouffée d’air après une longue période de crise… de l’emploi. Dans sa vision, la société coopérative participative Edena Madagascar (Scop Edena) compte créer 6.000 emplois durant sa première année d’existence. (..) Présentée officiellement hier à son siège à Ambanidia, cette coopérative va investir dans plusieurs domaines d’activités dont les entrepreneurs pourraient bénéficier. Ce sont, entre autres,  les opérations financières et bancaires, la construction, la location des logements locatifs sociaux et des emplacements commerciaux, l’exploitation sur les Tic avec spécialement, des prestations de services en marketing. S’y ajoutent le secteur de la production, de la transformation, de la commercialisation des produits locaux (Agricoles, halieutiques, artisanaux et miniers) ainsi que le secteur de l’enseignement supérieur des arts et métiers. Comme son nom l’indique, cette société promeut la collaboration financière et le travail collectif de ses membres. Dans cette philosophie, le président du conseil d’administration, Harilala Geronimot Randriamaro a souligné qu’ « il s’avère plus facile de promouvoir le développement d’une société lorsque les travailleurs sont en même temps actionnaires ».

V.M. dans La Tribune de Diego et du Nord de Madagascar
Ces gens là... Jean Claude et Masindraoke, artisans - vendeurs de rue.
Jean Claude et Masindraoke ont un point commun : ils vendent les produits de leurs mains et ils sont ce qu’on appelle dans le nord mpidalaly, des marchands qui ne se tiennent pas sur un lieu donné, qui n’ont ni boutique ni magasin et marchent à travers la ville à la rencontre des clients. (..) Jean Claude fabricant et vendeur de balais fait à la main. Jean Claude a 24 ans, il est arrivé à Antsiranana en 2011 et depuis il vit uniquement de la fabrication et de la vente de balai. (..) Ejeda, Toliara, Mahajanga, Nosy Be, Antsiranana : tel est le trajet effectué par Masindraoke en trois mois pour la vente de produits artisanaux typiquement de la région sud ouest dont il est originaire.

Dans Afriquinfos
Depuis le début de la première campagne en septembre 2013, la superficie traitée a dépassé les 400.000 hectares, a-t-on indiqué. Près de 232.000 litres de pesticide ont été utilisés depuis le début de la campagne antiacridienne.

Mikama - March 25, 2014

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Ile Sainte-Marie : Dégâts environnementaux. La réhabilitation des 2 digues de l’île Sainte-Marie a commencé en novembre 2012, pour une durée de un an. (..) Depuis novembre 2013, ces 5 canaux ont été complètement bouchés ne permettant plus cet échange entre l’eau douce et l’eau de mer. (..) Récréer dans les plus brefs délais plusieurs ouvertures importantes dans la digue permettant de restaurer l’échange naturel entre la mer et la mangrove. Nous considérons que si cette initiative n’est pas prise très vite, cet écosystème si important pour l’île Sainte Marie va mourir et les dégâts seront irréversibles.
Source : Association Cétamada
Rapport sur la mangrove de l’île Ste Marie
Travaux de la digue îlot madame
Anjara SALOMA Leader scientifique    

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Même si elle n’a pas été élue lors des dernières législatives, Mahasahy Lala Chantal continue ses actions sociales via ses associations. Cette femme responsable vient entre autres, de réaliser une enquête sur le travail des enfants dans l’exploitation de carrière à Ivoloina avec son équipe en vue d’alerter les autorités pour y remédier.  Après les élections, elle a également aidé les enfants handicapés de Morarano pour subvenir à leurs besoins quotidiens. Ce n’est pas tout, Mahasahy Lala Chantal n’a pas ménagé ses efforts pour enseigner aux enfants en matière d’assainissement et informer les femmes sur le planning familial dans plusieurs régions de l’île.

Mikama - March 24, 2014

Michella Raharisoa dans L'Express de Madagascar
Le Guichet forain organisé par la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNaPS) jusqu’au 28 mars dans cette région, permettra de recevoir les agriculteurs, les fermiers et les pêcheurs. Ils pourront bénéficier d’une pension de retraite à la suite d’une convention avec la Maison d’agriculture.
Cependant, ils doivent intégrer une organisation paysanne. «Ce ne seront pas les paysans qui paieront leur cotisation, mais l’association à laquelle ils auront adhéré », précise une responsable de la CNaPS.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Les compagnies d’exploration pétrolière doivent « importer » des compétences spécialisées dont le salaire va jusqu’à 1 500 US$ par jour. Soit environ 3 450 000 Ar. C’est 6,5 fois plus que le revenu annuel d’un pauvre selon le seuil national de la pauvreté. C’est dire les conditions salariales plus que confortable des compétences spécialisées. (..) D’après une étude de la Banque mondiale publiée dans le courant de ce mois de mars, on peut lire qu’un capital humain spécialisé est un facteur essentiel pour tirer le plus grand parti possible de l’expansion des industries extractives en Afrique subsaharienne. Madagascar a raté cette opportunité lors de l’implantation des deux grands projets miniers en cours dans le pays. Pareil dans les travaux d’exploration pétrolière... seuls 3% des bacheliers rejoignent une université publique.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
«70% des titres fonciers à Antananarivo ne correspondent plus à l’occupation réelle des parcelles.

Mikama - March 21, 2014

Reflet dans Newsmada
Reflets...d'une dynamique de l'exportation : exigence d’une structure forte pour réussir les négociations
Négociations avec les zones de marchés - Les lourdes conséquences de la crise - Enjeu de la stabilité politico-économique - Problème des normes à résoudre.
Dispositif pour soutenir les exportateurs locaux à percer le marché international, l’« International Trade Board of Madagascar » (ITBM) est né d’un partenariat entre les opérateurs économiques malgaches et l’Agence française de Développement (AFD). Cette agence nationale a pour rôle d’accompagner les entreprises dans les procédures d’exportation et de soutenir le pays dans les négociations sur le commerce international. Concernant cet accompagnement des entreprises, il existe plusieurs dispositifs, souligne Gil Razafitsalama, membre vice président de l’ITBM.

Vanessa Zafimahova dans Ino Vaovao
GLOBAL FOREST WACTH : Hampiharina eto Madagasikara ny tetikasa fanaraha-maso ny ala. Eto Madagasikara sy any Georgie no hanombohana azy io. Nalaina tahaka tamin’ny fomba fanaraha-maso nahitam-bokany tany Brezila izy io. Mampiasa solosaina sy « satellite » ary fifandraisana « internet » ity fomba vaovao ity. Misy ireo tahirin-tsary mikasika ny ala manomboka tamin’ny taona 2000 ka ahafahana mampitaha tsara ny toetry ny ala amin’ny fotoana itsirihana izany, roa, dimy, na folo taona aty aoriana.Ny GFW dia manangona sy mitahiry ireo antontan’isa sy antontam-baovao rehetra ary azon’ireo mpisehatra eo amin’ny lafiny tontolo iainana rehetra jerena amin’ny fotoana rehetra izany.

Rija Ratovomahefa dans L'Express de Madagascar
Selon les données de l’Institut national de la statistique (Instat), l’importation [vers la Chine] se chiffrait à près de 418 587 dollars en 2011 contre 92 609 dollars pour l’exportation.

Mikama - March 20, 2014

Rija Ratovomahefa dans L'Express de Madagascar
Par sa luxuriante végétation, la Grande île offre une large gamme d’huiles essentielles issue de sa culture ancestrale, qui a fait ses preuves au fil des années. (..) « Madagascar n’arrive à satisfaire que 1 % de la demande internationale. L’offre ne suit pas la demande. Nos plantations ne sont pas encore industrielles, de même que les distilleries. Chaque unité de notre capacité de production est restreinte, faute d’approvisionnement en matières premières. De plus, l’apparition d’autres produits de synthèse qui viennent concurrencer les huiles essentielles naturelles sur le marché international est à considérer », a expliqué Jean Betiana, un opérateur de la filière.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Les mangroves sont très importantes puisqu’elles servent à beaucoup de secteurs. Elles sont considérées comme la maternité et la nurserie pour des espèces comme les crevettes. Les crabes s’y plaisent et ceux de Madagascar sont réputés pour leur goût. D’ailleurs, le potentiel du pays est encore très important dans ce domaine : il est de 7 500 à 8 000 tonnes, alors que la production annuelle est comprise dans une fourchette de 2 700 à 3 500 tonnes. Les mangroves procurent aussi du bois pour la construction, la confection de meubles, de charbon de bois…

Y.L.  dans La Gazette de la Grande-Ile
Chaque année, la Grande île perd 0,5% de sa couverture forestière pour l’approvisionnement en bois de chauffe et en charbon.

Mikama - March 19, 2014

Antsa R. dans Midi Madagasikara
« Nous fabriquons généralement des articles de décoration, mais pour des raisons sociales, nous avons également des activités liées à l’agriculture, l’élevage et l’éducation. Plus de 300 employés travaillent avec moi, ce qui vaut un salaire global de 1 million Ariary par jour », a noté le fondateur de l’entreprise. (..) Aujourd’hui, 60% de sa production sont destinés à l’exportation.

Fahranarison dans Newsmada
C’est, entre autres, le cas de la Réunion Kely, complètement nettoyé vers 2004, mais depuis 2008, la situation s’est  empirée. En 2009, il y avait environ 500 personnes mais actuellement, on y dénombre un peu plus de 1.000 personnes, représentant quelque 200 familles. (..) Sur les 50 familles qui ont été déplacées dans la commune de Masindray, depuis 2004, une vingtaine d’entre elles ont réussi à rester jusqu’au bout. Ces dernières sont actuellement propriétaires d’une maison et de terrain de culture. En 2008, LGW [Life giving water, ONG]leur a doté d’une adduction d’eau, ce qui leur a permis d’augmenter leur production à 85%.

Mikama - March 18, 2014

Dans La Gazette de la Grande-Ile
Et dans le dernier Bulletin du PADR, il est analysé que pour 2014, une augmentation du taux de croissance économique à 3% est prévue (contre 2,8% en 2013). Pour le secteur primaire, ce taux sera de 1,5% et reposera plus sur le développement des activités de production, dont les branches agriculture (0,8%), élevage et pêche (2,8%).

Sera R. dans Newsmada
... en 2010, le Moyen-Orient a vu son volume d’exportation vers la Grande Île s’accroître. De 582 milliards en 2009, celui-ci a presque doublé en 2010 pour atteindre les 945 milliards d’Ariary, dépassant ainsi la Chine de 23 milliards d’Ar. (..) D’après toujours les statistiques de la douane sur les importations, les matières premières caracolent en tête depuis 2011. Elle était de 1 247 milliards d’Ar en cette année, pour être à 1 734 milliards d’Ar en 2013. En quantité, le volume importé en matières premières était de 938 000 tonnes contre 2 milliards de tonne en 2013. Les matières premières sont suivies de l’énergie avec un montant de 1 659 milliards en 2013 pour une quantité de 1,20 milliard de tonne. L’équipement arrive en 3e position...

Arh. dans Newsmada
Certains opérateurs sont commerçants par vocation et par tradition. Certains sont plus entrepreneurs que d’autres. La réalité à Madagascar le confirme.

Mikama - March 17, 2014

Rija Ratovomahefa dans L'Express de Madagascar
« Nous ne pouvons plus nous fournir en matières premières, surtout celles de qualité. Les opérateurs étrangers raflent les matières de bonne qualité. De plus, le mûrier qui est l’aliment de base des vers à soie est actuellement attaqué par des maladies non identifiées, ce qui pousse les éleveurs à augmenter le prix de la soie naturelle », a expliqué un fabricant de produits en soie naturelle, membre d’une coopérative artisanale d’Arivonimamo.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Seule la Fédération des Chambres de Commerce et d’Industrie de Madagascar (FCCIM) est habilitée à délivrer ce passeport de marchandises. Sa validité dure un an renouvelable. Le Carnet ATA (Admission Temporaire/Temporary Admission) est maintenant applicable à Madagascar. « Appelé également « passeport de marchandises », c’est un document douanier international qui permet la franchise en droits et taxes des produits d’importations temporaires dans plus de 80 pays », a expliqué Josielle Rafidy, la directrice générale de la Fédération des Chambres de Commerce et d’Industrie de Madagascar...

Navalona R. dans Midi Madagasikara
L’Etat a engagé la réforme foncière depuis 2005 en vue de satisfaire la forte demande de sécurisation de droits de propriété de la population.

Mikama - March 14, 2014

Dans L'Express de Madagascar
« Depuis 2006, le projet d’une galerie virtuelle de l’artisanat africain [GVAA] a été déjà mis en route. Actuellement, ce site est déjà opérationnel et peut être visité par tous. Il s’agit de vendre en ligne des produits de l’artisanat des dix pays membres des CRP. Les effets escomptés de ce projet sont l’accrois­sement de la qualité et la visibilité des produits de l’artisanat africain, la promotion de la richesse et de la diversité culturelle de l’artisanat africain, la consolidation de la confiance entre les artisans et les acheteurs », a fait savoir un responsable des chambres des métiers d’Antananarivo. Toutefois, les artisans malgaches qui veulent intégrer ce projet devraient faire davantage d’efforts pour améliorer la qualité de leurs produits. Les critères sont sévères.

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
La validité de la plupart des permis d’exploration pétrolière expirera bientôt. Dans le dernier numéro du bulletin mensuel « Tahiry » du Trésor public, le directeur général de la société Petromad, Emma Rasolovoahangy rappelle qu’un permis a une validité de 8 ans selon le code pétrolier. Et les permis cités ci-dessus ont été acquis entre 2004 et 2006.  (..) Sinon, il faut rappeler que d’après les techniciens du secteur, 54% de la superficie totale de Madagascar sont favorables à l’exploration pétrolière. Mais seulement 45% sont couverts par des travaux d’exploration.

Mikama - March 13, 2014

Sur Deutsche Welle
Radio Mampita FM94 broadcasts programs by farmers for farmers in Madagascar's highlands. From cultivating rice to turkey breeding, the unique station hopes to stamp out poverty by promoting information sharing and education. (..) "What makes Radio Mampita special is that it really is a radio station for the farmers. We not only speak their language, with us they can also have their say."

Fanjanarivo dans La Gazette de la Grande-Ile
Le récent rapport de l’Organisation internationale du travail (OIT) est clair : «  L’emploi informel est devenu la norme pour les jeunes des huit pays ». Il s’agit des pays où cette organisation a mené une enquête sur l’emploi des jeunes et Madagascar en fait partie. Ainsi, 7 jeunes sur 10 travaillent à leur propre compte. Dans la quasi-totalité des cas, ces emplois sont dans l’informel. (..) Chez les jeunes salariés considérés comme les moins vulnérables, la situation n’est pas non plus reluisante. Rares sont les jeunes salariés sont couverts par un contrat écrit. Ils ne constituent que 1/4 de la population des jeunes travailleurs. Seuls près de 10% ont un contrat d’une durée déterminée supérieure à 12 mois. Sinon, près de la moitié des contrats de travail sont temporaires et moins de 1/5ème des jeunes employés bénéficient de droits supplémentaires tels que les congés maladie, les congés payés annuels.

Noella Rakoto dans Newsmada
D’après les chiffres du ministère du Commerce, la Grande île n’exporte que 2.000 tonnes de poivres alors qu’elle dispose d’un quota d’environ 20.000 tonnes.

Mikama - March 12, 2014

Rija Ratovomahefa dans L'Express de Madagascar
Selon le rapport d’évaluation de la Banque mondiale concernant les pertes causées par la dégradation environnementale, Mada­gascar enregistre chaque année une perte d’environ 450 millions de dollars, soit 10 % du Produit intérieur brut (PIB). Les systèmes de cultures tradi­- tionnelles comme le « tavy » sont les plus souvent cités comme première cause de la dégradation de l’environnement.

NIR dans La Gazette de la Grande-Ile
Madagascar pourrait se réjouir de n'avoir que moins de 1 % de sa population porteuse du VIH. Pourtant, les autorités redoutent une explosion à la sud-africaine car les Malgaches, qui ne croient pas au sida, ne se protègent pas. (..) Le combat contre la pandémie est associé automatiquement à la distribution gratuite de condoms lors des festivités et autres carnavals. A Madagascar, le taux de prévalence est officiellement de 1,1%. Mais 29 localités rurales isolées enregistrent une prévalence de 2 à 15,6 %, résultats des tests pratiqués sur les femmes enceintes, seul moyen d'avoir des statistiques. (..) Pour l'heure, ni les 42 morts depuis 1987, ni les 261 séropositifs, chiffre officiel du service de la lutte contre le sida du ministère de la Santé, ne semblent inquiéter les Malgaches.

Mikama - March 11, 2014

Fahranarison dans Newsmada
Après trois ans d’élaboration, le Schéma d’aménagement communal (Sac), élaboré par la vice-primature en charge du développement et de l’aménagement du territoire (VPDAT), est actuellement disponible. Il s’agit d’un document de référence qui définit les grandes orientations, sur 15 ans, portant sur la réglementation et l’utilisation des sols ainsi que la détermination des vocations des terres.
Autres references
Symposium International 2011SAGE, CIFOR

Mikama - March 10, 2014

Racl.R dans La Nation
Les femmes entrepreneurs malagasy commencent à se démarquer des hommes et elles sont en grand nombre à Madagascar selon l’explication de la présidente de l’Entreprendre eu Féminin de l’Océan Indien-Madagascar (EFOI) Sylvia Pagès. « Le nombre de femmes est supérieur à celui des hommes à Madagascar mais elles sont tiraillées entre leurs devoirs conjugaux et leurs business. C’est pour cela qu’on ne les voit presque même pas », a expliqué Sylvia Pagès.

Dans La Gazette de la Grande-Ile
L’accès au crédit devrait être l’un des instruments les plus efficaces pour accroître la capacité économique de la femme, notamment dans son cercle familial et communautaire.
Mais cet accès est très restreint pour les jeunes femmes en union de 15 à 49 ans. Elles sont seulement 3,8% à participer à un programme de microfinance. Si on fait la répartition par lieu de résidence, le taux est de 7,5% en milieu urbain et 3% dans les campagnes. Par contre, 7,6% des groupes d’âge des 45-49 ans accèdent au crédit. (..) Mais il faut noter que plus de 14% des femmes qui participent à un programme de microfinance ont des problèmes de remboursement.

Mikama - March 7, 2014

Dans Newsmada
Zoom sur les grandes banques de Madagascar
- BOA-MADAGASCAR, un portefeuille client en constante progression
- BFV-SG, banque rentable et écologique
- BNI Madagascar.
D’après les chiffres de 2012 et au niveau du bilan total, trois grands noms se démarquent, en l’occurrence le Crédit agricole (CA) avec 1 842 milliards d’euros, la Société générale avec 1 250 milliards d’euros et BPCE et ses 1 147 milliards d’euros. En termes de fonds propres, ils ont investi respectivement 45,2, 49,8 et 40,9  milliards d’euros, sachant également qu’au niveau notation, tous trois jouissent du « A+ » du rating fitch. Un cran en-dessus s’il en est par rapport aux autres groupes bancaires que sont MCB, SBM, BOA ou encore BGFI.

R.V. dans La Gazette de la Grande-Ile
La Grande Ile est riche en plantes médicinales dont 80% ont des vertus thérapeutiques. Selon les enquêtes publiées, 80% de la population malgache ont recours à la médecine traditionnelle, surtout les personnes vivant dans le monde rural.

Hanitra R. dans Midi Madagasikara
Ce document met en exergue les impacts potentiels du pipeline d’Ambatovy durant la phase d’opération et les mesures d’atténuation proposées par la compagnie.

Mikama - March 6, 2014

Antsa R. dans Midi Madagasikara
La population urbaine représente le tiers de la population malgache, d’après les données recueillies en 2012. En 2030, ce taux sera à 50 % selon les prévisions. (..)  Bref, la situation des villes malgaches est alarmante, la capacité d’accueil des villes ne suit pas sa propre croissance démographique, d’où la prolifération des bidonvilles. 78 % de la population y vivaient en 2007. (..) 35 % de la population sont pauvres en milieu urbain contre 62,1 % en zones rurales.

Riana dans Madagascar Matin
Depuis 2011, la filière apicole dans le pays a été durement touchée par la propagation du varroa  dans plusieurs localités. La Fédération Nationale des Apiculteurs Malgaches (FENAM) a recensé quatre principales zones de production dont les hauts plateaux incluant Manjakandriana et la Région Analamanga ; l’axe sud (Ambositra et Fianarantsoa) ; la côte est (Maroantsetra à Fort- Dauphin) et le nord- ouest (Befandriana nord, Antsohihy, Majunga, Morondava). (..) Pou rappel, la Grande île produit près de 3.000 à 4.000 tonnes de miel par an dont 50% provient de la région nord ouest, 30% de l’axe sud et 20% par les

Mikama - March 5, 2014

Rija Ratovomahefa dans L'Express de Madagascar
« Le taux de personnes travaillant dans le secteur informel atteint actuellement les 80%, contre 60% en 2008. En tout cas, la ruée vers le secteur informel est le seul recours pour la plupart des Malgaches pour faire face à la crise qui a sévi dans le pays. À part le commerce, le domaine de l’agriculture et de l’élevage relèvent le taux le plus élevé de cette ruée vers les emplois informels. Toutefois, le secteur informel engendre un faible revenu, comparé aux emplois formels », a expliqué un responsable de la direction générale de l’Instat... Le secteur informel a contribué jusqu’à 24% du Produit intérieur brut (PIB) du pays en 2012, soit 36% du PIB non marchand et non agricole.

Navalona R. dans Midi Madagasikara
Secteur de l’élevage : Des opportunités d’investissements offertes. A titre d’illustration, on a besoin de 600 000 têtes de zébus pour le ranch bovin. Les régions à forte potentialité sont entre autres, Bongolava, Boeny, Ihorombe, Atsimo Andrefana et SOFIA. (..) Quant à la production de poussin chair, un gap de 15 millions de têtes est observé si c’est de 110 000 têtes pour la production de poussin pondeuse. Par contre, un besoin d’une quantité de 30 millions d’œufs pour la consommation est constaté sur le marché de l’export. Parlant de la production de canard prêt à gaver, le gap est de 50 000 têtes.


Mikama - March 4, 2014

Racl. R dans La Nation
Certes, le sous-emploi gagne du terrain à Madagascar car les revenus salariaux, selon l’Enquête Nationale sur le Suivi des Objectifs du Millénaire pour le Développement (ESNOMD 2012), sont restés relativement bas. (..) Les salariés les plus mal lotis se trouvent dans l’agriculture où les revenus salariaux moyens sont de 910 000 Ar par an. Les branches privées non agricoles occupent une place intermédiaire dans la hiérarchie, avec un salaire annuel moyen variant entre 1 387 000 Ar (dans l’industrie textile) et 1 875 000 Ar (dans le BTP). Enfin, les employés de l'administration font partie des privilégiés, avec un revenu annuel supérieur à 2 889 000 Ar. Les salaires annuels varient de 1 217 000 Ar pour ceux qui n'ont pas été à l'école à 3 816 000 Ar pour ceux qui ont fréquenté l'université, en passant par 1 360 000 Ar pour les salariés ayant achevé le niveau primaire et 1 948 000 Ar pour les salariés ayant achevé le premier cycle de niveau secondaire.

Sera R dans Newsmada
Des coutumes néfastes aux enfants continuent d’exister dans la Grande Ile, à l’instar du « moletry », une coutume du nord-ouest de Madagascar où des parents vendent leur fille, voire leur fillette. En contrepartie, ces parents reçoivent un zébu et une certaine somme d'argent de la part des hommes censés devenir leurs maris, mais que la plupart ne le deviendront jamais.
Il y a aussi les mariages « arrangés » et les mariages précoces même si une loi a fixé l’âge minimum matrimonial à 18 ans, avec une dérogation à 16 ans pour les filles mais sur décision d’un juge.
A ceux-là s’ajoutent les pratiques désuètes mais qui continuent à persister dans certaines régions. Ainsi, le « Tsenan’Ampela » où des jeunes demoiselles Bara venant des villages environnants d’Ivohibe-centre, se voient obliger de se prostituer. A Analanjirofo, par contre, les autorités se sont prononcées pour la suppression du phénomène  «Jiromena », un type de loisir en vogue dans la région, suite à la constatation que 75 jeunes filles mineures se sont retrouvées enceintes en 2012.

Mikama - March 3, 2014

Dans The Guardian
In 2008, African governments signed the eThekwini declaration committing to spend at least 0.5% of their GDP on sanitation and hygiene, and to put in place separate budget lines to improve accountability and help track progress. (..) As part of the agreement for what succeeds the millennium development goals (MDGs), which expire in 2015, countries should sign up to achieving universal access to basic drinking water, sanitation, and hygiene by 2030, the report says

Dans The Guardian
The extreme fluctuations in the world price of vanilla – from €25 (£20) a kilo in 2000 to €400 (£327) in 2004, then down by 90% as buyers switched to synthetic alternatives – also harm production, as farmers feel forced to give up the extremely labour-intensive spice in favour of more dependable crops. (..) "If we don't enhance vanilla growers' livelihood today, we won't have vanilla tomorrow," says Tenge. "We're establishing model farms in 32 villages to show farmers how they can re-cultivate their fields so they don't have to slash and burn forest land to get new fields. It means they're able to grow vanilla, but we're also teaching them how to grow better vanilla." The Unilever-Symrise-GIZ partnership is also about to launch three boarding schools for tomorrow's generation of farmers, where 120 teenagers will spend two years learning sustainable practices. Even though some 80% of Malagasy youth become farmers, the country's school curriculum doesn't feature agricultural education. (..) Lafaza has another solution: formed by former Madagascar Peace Corps volunteers eight years ago, the company buys its beans directly from Malagasy growers at a price 10-20% higher and shares profits with them. Its American, Malagasy-speaking experts also provide agricultural training to member farmers, and the company is currently building two libraries.

Dans La Nation
Selon les techniciens de l’eau à Madagascar, l’hydroélectricité pourrait bien solutionner le problème de délestage dans la Grande ile car le potentiel en eau existe bel et bien à Madagascar. Ils ont souligné qu’un investissement de 100 millions d’Ariary pourrait bien approvisionner 2000 personnes en électricité.